Qui suis-je ?

J’ai découvert le monde des courses, il y a une cinquantaine d’années. À l’époque, j’étais trop jeune pour jouer mais chaque dimanche c’était toujours le même rituel : la messe le matin et le tiercé le dimanche après-midi, à la télévision, commenté par l’inégalable Léon Zitrone. Je me souviens encore des éclats de voix de mon père qui pestait après chaque arrivée : il avait toujours 2 chevaux mais le troisième n’arrivait jamais.

Bien des années plus tard, je devins analyste financier dans une société de bourse. Un jour, je m’aperçus que certaines techniques boursières pouvaient s’appliquer également aux paris proposés par le PMU. J’ai, alors, élaboré quelques outils qui se sont vite révélés efficaces et m’ont permis de me constituer une jolie cagnotte au jeu simple.

Profitant d’une année sabbatique, je me suis mis à arpenter les champs de courses régulièrement. Cela m’a permis de me constituer un solide réseau dans le monde des entraîneurs : condition indispensable pour gagner régulièrement.

Je me suis également formé à juger de l’état d’un cheval lors de la présentation au rond, ou lors du canter pour le trot. De même, je me suis constitué une base de données sur chaque concurrent ; reprenant ses origines, sa valeur handicap (galop), sa distance, la saison, le terrain et ses hippodromes préférés.

Encore mieux, j’ai pu me procurer, grâce à mon réseau, l’état des engagements futurs des chevaux pour savoir si la course du jour représente ou non un objectif. Bien sûr tout cela a un coût car je n’obtiens pas ces renseignements gratuitement. Mais le jeu en vaut la chandelle, puisque depuis plusieurs années j’ai réussi à doubler, voire tripler, mon salaire annuel.

Aujourd’hui, à la retraite, je dispose de tout mon temps pour optimiser mon carnet d’adresses, outil indispensable pour gagner. De même, l’informatisation de mes bases de données me permet de consacrer plus de temps pour disséquer les courses avec une précision chirurgicale.

Je suis avant tout un professionnel du jeu simple et du couplé. Toutefois, je me suis fixé un autre défi : essayer de gagner au Quinté+. Bien sûr, dans ce jeu il y aura des écarts car il est impossible de gagner toutes les courses événementielles. Aujourd’hui, les meilleurs pronostiqueurs de la presse hippique ne trouvent que 4 quintés par mois en moyenne et sont largement déficitaires à la fin de l’année. Cela est dû au fait, qu’au Quinté, souvent seul l’ordre est rémunérateur et le désordre ne permet que rarement de récupérer la mise initiale.

C’est pourquoi j’ai mis en place un montage original : un jeu axé sur le quinté, avec un jeu de couverture (jeu simple, couplé/trio et un pronostic sur une autre course). Autre originalité : chaque événement fait l’objet d’une évaluation préalable. Les courses sont classées selon la difficulté de l’épreuve : les courses dîtes faciles, moyennes, difficiles, voire très difficiles. L’objectif est de gagner un maximum de courses de difficulté moyenne. Ainsi, chaque mise est pondérée en fonction de la difficulté de l’épreuve. Même si les fervents du jeu simple ou du couplé peuvent ne jouer que ces 2 modes de paris, la priorité sera de trouver un maximum de quintés rémunérateurs.

Il ne faut pas se leurrer, trouver l’ordre dépend du déroulement de la course et reste aléatoire. Toutefois, mon expérience des hippodromes va nous aider. Ainsi, à Longchamp par exemple, parce que la place à la corde est primordiale il est préférable de plébisciter les chevaux qui font la course en tête, surtout en bon terrain. Mieux vaut placer les attentistes en bout de combinaison, sauf par terrain pénible.

Chaque jour à partir de 18h, vous pourrez trouver sur Turfistar le jeu proposé pour la course du lendemain. De plus, le jour de l’épreuve, après 10h, vous pourrez disposer des dernières informations (dernière minute, non partants déclarés, infos entraîneurs, jeu pour une autre course de la réunion). En outre, pour le Quinté+, vous pourrez choisir entre le jeu PMU et le jeu proposé par le site Le Turf. L’avantage de ce dernier est de pouvoir jouer au 5/5 en jeu réduit au 1/10ème de l’unité de base, soit 0,10 centimes d’euro par combinaison. Il est donc possible jouer une base avec un jeu réduit de 10 chevaux pour une mise de 21 euros. Comme toutes les mises sont affectées au désordre, les gains dans le désordre sont nettement plus élevés qu’au PMU. Personnellement, je joue à 5/10ème de la mise unitaire, soit le jeu à 0,5 centimes pour une mise de 105 euros. En complément, je joue au couplé/trio dans la course de couverture proposée, pour amortir les pertes et supporter les écarts.

Les jeux simples et couplés proposés seront des jeux destinés à amortir les pertes éventuelles et à supporter les écarts inévitables au Quinté+. Aujourd’hui mon unique but est d’avoir un revenu complémentaire à ma retraite, tout en aidant par ces temps difficiles, les turfistes assidus à trouver le ou les chevaux qui n’arrivent jamais…

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Christian
Pronostiqueur Professionnel depuis plus de 20 ans